Le canal latéral à la Garonne
de Toulouse à Bordeaux

Qu'est-ce qu'on en a pensé ?

On a aimé :

●  Les belles routes goudronnées sur presque la totalité du trajet. De beaux efforts ont été faits pour transformer les chemins de halage en pistes cyclables, bien plus aisément praticables pour les vélos. Nous avons eu de la chance de passer quelques semaines à peine après la fin des travaux d’aménagement. Seule la partie entre Grisolles et Moissac (notre étape 2) n'était pas encore terminée.

●  La superbe piste cyclable Roger-Lapébie entre Sauveterre-de-Guyenne et Bordeaux, aménagée à partir d’une ancienne voie ferrée. L’itinéraire est parfaitement aménagé et traverse vignes et forêts. Un vrai bol de nature.

La piste Roger-Lapébie, une ancienne voie ferrée rien que pour les vélos

●  Les nombreux petits restos pas chers, ultra copieux et bien souvent délicieux, avec des plats de la région (magrets de canard et foie gras sur Toulouse, bons petits Bordeaux dans la Gironde…).

On a moins aimé :

●  La pluie… mais personne n’y peut rien ! Lorsque les chemins de halage ne sont pas goudronnés et qu’il pleut ou qu’il a plu beaucoup, la piste est quasiment impraticable : on s’enlise, fait floc-floc dans la boue et manque de glisser sur l’herbe humide. Pire : quand la boue sèche sur le vélo, ça fait un monticule de glaise séchée qui bloque les roues du vélo ! S’il pleut, mieux vaut prévoir illico de faire le trajet sur les petites départementales qui, bien souvent, longent le canal.

La gadoue, la gadoue, la gadoue...